
L’application WeWard lancée en 2019 à l’initiative d’Yves Benchimol, ingénieur polytechnicien expert en géolocalisation, assure la promotion de l’activité physique dans le but de prévenir les maladies liées à la sédentarité et améliorer le bien-être des individus. L’application mobile gratuite incite donc ses utilisateurs à marcher davantage par un mécanisme de récompense ludique, en convertissant chaque en monnaie digitale. Elle connaît un vrai succès avec plus d’1 million d’utilisateurs actifs et une croissance exponentielle, ce qui l’a place dans le Top des applications d’Apple Store et Google Play.
Dans son communiqué daté de ce mardi 15 décembre 2020, WeWard rappelle combien la sédentarité est un enjeu de santé publique présente à l’échelle mondiale et nous fait part d’une étude réalisée auprès de 18 445 personnes, prouvant l’efficacité de l’application. Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), la sédentarité fait partie des dix premiers facteurs de « risque de mortalité dans le monde », et entraîne l’introduction de maladies non transmissibles, tels que le diabète, le cancer ou des maladies cardio-vasculaires.
L’enquête sur l’application WeWard montre son influence et ses effets sur les utilisateurs
Une des premières données que met en avant l’étude faite par WeWard est l’importance du système de palier. En effet, l’étude montre qu’un nombre important d’utilisateur réalise précisément (à 100 pas près) le nombre de pas correspondant à un palier sur l’application afin d’atteindre une récompense. Ce résultat permet d’en déduire que les utilisateurs marchent en vue d’atteindre un palier avant de s’arrêter.
Une augmentation de 24% du nombre de pas moyen
L’étude compare des populations semblables avec et sans l’application au cours d’une même période de temps. Les résultats montrent, que les individus qui utilisent WeWard augmentent leur nombre de pas moyen de 24%, avec un niveau de confiance supérieur à 95%. La conclusion de l’étude permet donc de confirmer que WeWard incite positivement le nombre de pas moyens de ses utilisateurs.
Retrouvez l’intégralité de l’étude ici